Une différence de nature se dresse entre la Société civile et l’Etat. Pendant que la première s’occupe et se préoccupe du politique, c’est-à-dire que le Bien commun, l’Etat s’occupe et se préoccupe de la politique. En conséquence deux choses seront souvent prises en otage par les gens au pouvoir : la vérité et l’intérêt commun. Une remarque s’impose au départ : autant l’Etat de droit se définit-il de manière externaliste par la gouvernance mondiale, autant la société civile semble subir la même approche.
Une différence de nature se dresse entre la Société civile et l’Etat. Pendant que la première s’occupe et se préoccupe du politique, c’est-à-dire que le Bien commun, l’Etat s’occupe et se préoccupe de la politique. En conséquence deux choses seront souvent prises en otage par les gens au pouvoir : la vérité et l’intérêt commun. Une remarque s’impose au départ : autant l’Etat de droit se définit-il de manière externaliste par la gouvernance mondiale, autant la société civile semble subir la même approche.
Etant donné que le lien entre corruption et mauvaise gouvernance semble de plus en plus établi, tous les décideurs politiques émettent des mesures pour la contenir. Les dispositifs institutionnels (cours et tribunaux, brigade anticorruption) ainsi que des arsenaux légaux allant du global (chartes et conventions régionale et internationale) au local (lois nationales, arrêtés, directives administratives, etc.) sont ici et là implémentés.
Etant donné que le lien entre corruption et mauvaise gouvernance semble de plus en plus établi, tous les décideurs politiques émettent des mesures pour la contenir. Les dispositifs institutionnels (cours et tribunaux, brigade anticorruption) ainsi que des arsenaux légaux allant du global (chartes et conventions régionale et internationale) au local (lois nationales, arrêtés, directives administratives, etc.) sont ici et là implémentés.
Résumé: La littérature économique montre que, du fait du comportement rentier et prédateur qu’entretient la corrup-tion, celle-ci étouffe l’esprit d’initiative et d’entreprise, agit comme une taxe supplémentaire d’investissement qui décou-rage les investisseurs locaux et étrangers, lesquels préfèrent des activités de spéculation et de courte échéance à la place des investissements de grande envergure.
Résumé: La littérature économique montre que, du fait du comportement rentier et prédateur qu’entretient la corrup-tion, celle-ci étouffe l’esprit d’initiative et d’entreprise, agit comme une taxe supplémentaire d’investissement qui décou-rage les investisseurs locaux et étrangers, lesquels préfèrent des activités de spéculation et de courte échéance à la place des investissements de grande envergure.