A l’instar de ce qui s’est passé au Burundi durant la décennie 1990, la Communauté internationale s’est mobilisée pour une résolution pacifique du nouveau conflit politique survenu au lendemain de l’annonce de la candidature de Pierre Nkurunziza à sa propre succession pour un troisième mandat que d’autres acteurs de la vie politique considèrent comme une violation grave de l’Accord d’Arusha et de la Constitution de 2005.
A l’instar de ce qui s’est passé au Burundi durant la décennie 1990, la Communauté internationale s’est mobilisée pour une résolution pacifique du nouveau conflit politique survenu au lendemain de l’annonce de la candidature de Pierre Nkurunziza à sa propre succession pour un troisième mandat que d’autres acteurs de la vie politique considèrent comme une violation grave de l’Accord d’Arusha et de la Constitution de 2005.
L’ACCORD D’ARUSHA : DIX-HUIT ANS APRÈS
La contestation du troisième mandat de Pierre Nkurunziza à la tête de l’état en avril 2015 et le Référendum constitutionnel en mai 2018 ont émaillé la vie politique burundaise les trois dernières années. Ces deux événements, quoique séparés de trois ans d’intervalle, restent riches en symboles et soulignent la pertinence de l’Accord d’Arusha; ce deal politique, considéré jusqu’ici comme le socle de plus d’une décennie de paix (relative) au Burundi.
L’ACCORD D’ARUSHA : DIX-HUIT ANS APRÈS
La contestation du troisième mandat de Pierre Nkurunziza à la tête de l’état en avril 2015 et le Référendum constitutionnel en mai 2018 ont émaillé la vie politique burundaise les trois dernières années. Ces deux événements, quoique séparés de trois ans d’intervalle, restent riches en symboles et soulignent la pertinence de l’Accord d’Arusha; ce deal politique, considéré jusqu’ici comme le socle de plus d’une décennie de paix (relative) au Burundi.
Directeur adjoint
Comité de direction
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