Une différence de nature se dresse entre la Société civile et l’Etat. Pendant que la première s’occupe et se préoccupe du politique, c’est-à-dire que le Bien commun, l’Etat s’occupe et se préoccupe de la politique. En conséquence deux choses seront souvent prises en otage par les gens au pouvoir : la vérité et l’intérêt commun. Une remarque s’impose au départ : autant l’Etat de droit se définit-il de manière externaliste par la gouvernance mondiale, autant la société civile semble subir la même approche.
Une différence de nature se dresse entre la Société civile et l’Etat. Pendant que la première s’occupe et se préoccupe du politique, c’est-à-dire que le Bien commun, l’Etat s’occupe et se préoccupe de la politique. En conséquence deux choses seront souvent prises en otage par les gens au pouvoir : la vérité et l’intérêt commun. Une remarque s’impose au départ : autant l’Etat de droit se définit-il de manière externaliste par la gouvernance mondiale, autant la société civile semble subir la même approche.
Résumé : Le thème de la corruption semble se situer à l’inter-section de deux problématiques différentes, mais complémen-taires. Le thème fournit, en effet, un schème d’intelligibilité des pratiques éthiques et politiques en combinant la métapho-re pathologique- qui naturalise les comportements d’in-conduite- et la thématique typiquement moderne du mal qui repose sur une anthropologie déterminée par des valeurs ab-solues.
Résumé : Le thème de la corruption semble se situer à l’inter-section de deux problématiques différentes, mais complémen-taires. Le thème fournit, en effet, un schème d’intelligibilité des pratiques éthiques et politiques en combinant la métapho-re pathologique- qui naturalise les comportements d’in-conduite- et la thématique typiquement moderne du mal qui repose sur une anthropologie déterminée par des valeurs ab-solues.

